Martin Bashir réhabilite Michael Jackson (vidéo)
Publié le 19 avril 2010
En 2003, le journaliste britannique Martin Bashir réalisait Living with Michael Jackson, un documentaire délibérément orienté pour discréditer la star.
A l’époque, Bashir affirmait que des choses malsaines se passaient à Neverland. Peu de temps après la diffusion de ce reportage à la télévision américaine Gavin Arvizo, un jeune malade du cancer qui affirme dans le film avoir été guéri de la maladie grâce à l’amour et le soutien (financier entre autres) de la star, prétendait avoir subi des attouchements. Deux ans plus tard, Michael Jackson était blanchi de tout soupçon au terme d’un procès qui démontra que les accusateurs étaient à l’origine d’une tentative d’extorsion et qu’ils n’en étaient d’ailleurs pas à leur coup d’essai.
Dans un contre-documentaire réalisé par un caméraman du chanteur (MJ avait pour habitude de tout filmer), The Footage You Were Never Meant to See, on voit de toutes autres images de Martin Bashir qui ne cesse de faire l’apologie de la générosité du chanteur et de ses qualités de père de famille.
Peu de temps après la mort de Bambi, Martin Bashir, certainement pris de remords, revenait sur ses positions : "Chacun d’entre nous a été choqué et profondément attristé par la nouvelle de cette disparition. (…) Nous nous réjouissions par la perspective de ces concerts à Londres. Des milliers de personnes avaient acheté des places à travers le monde et entendre cette nouvelle est vraiment très triste. Je pense que nous devons nous souvenir qu’il était probablement le plus grand musicien et danseur que le monde n’ait jamais connu. Quand j’ai réalisé le documentaire, il y a une petite partie qui contient la controverse concernant ses relations avec des jeunes gens, la vérité est qu’il n’a jamais été condamné pour aucun crime et je n’ai jamais rien vu de répréhensible moi-même. Je ne crois pas que ce soit un criminel. Je pense que le monde a perdu le plus grand artiste qu’il n’est jamais connu."
Martin Bashir n’est pas le seul à avoir rétabli la vérité après le 25 juin 2009. Jordan Chandler avouait sur un site internet que le chanteur ne lui avait jamais rien fait de mal. Il avait été poussé par son père Evan à mentir. Quelques semaines plus tard, ce dernier gravement malade mettait fin à ses jours dans la solitude la plus absolue. Aucun de ses proches n’était présent à ses funérailles.
A l’époque, Bashir affirmait que des choses malsaines se passaient à Neverland. Peu de temps après la diffusion de ce reportage à la télévision américaine Gavin Arvizo, un jeune malade du cancer qui affirme dans le film avoir été guéri de la maladie grâce à l’amour et le soutien (financier entre autres) de la star, prétendait avoir subi des attouchements. Deux ans plus tard, Michael Jackson était blanchi de tout soupçon au terme d’un procès qui démontra que les accusateurs étaient à l’origine d’une tentative d’extorsion et qu’ils n’en étaient d’ailleurs pas à leur coup d’essai.
Dans un contre-documentaire réalisé par un caméraman du chanteur (MJ avait pour habitude de tout filmer), The Footage You Were Never Meant to See, on voit de toutes autres images de Martin Bashir qui ne cesse de faire l’apologie de la générosité du chanteur et de ses qualités de père de famille.
Peu de temps après la mort de Bambi, Martin Bashir, certainement pris de remords, revenait sur ses positions : "Chacun d’entre nous a été choqué et profondément attristé par la nouvelle de cette disparition. (…) Nous nous réjouissions par la perspective de ces concerts à Londres. Des milliers de personnes avaient acheté des places à travers le monde et entendre cette nouvelle est vraiment très triste. Je pense que nous devons nous souvenir qu’il était probablement le plus grand musicien et danseur que le monde n’ait jamais connu. Quand j’ai réalisé le documentaire, il y a une petite partie qui contient la controverse concernant ses relations avec des jeunes gens, la vérité est qu’il n’a jamais été condamné pour aucun crime et je n’ai jamais rien vu de répréhensible moi-même. Je ne crois pas que ce soit un criminel. Je pense que le monde a perdu le plus grand artiste qu’il n’est jamais connu."
Martin Bashir n’est pas le seul à avoir rétabli la vérité après le 25 juin 2009. Jordan Chandler avouait sur un site internet que le chanteur ne lui avait jamais rien fait de mal. Il avait été poussé par son père Evan à mentir. Quelques semaines plus tard, ce dernier gravement malade mettait fin à ses jours dans la solitude la plus absolue. Aucun de ses proches n’était présent à ses funérailles.
