Sheryfa Luna : "On a voulu tuer mon bébé"
Publié le 13 février 2009
Après son compagnon, c’est au tour de Sheryfa Luna de porter de graves accusations sur son ancien manager, Benjamin Chulvalij.
Il y a quelques semaines, Venus racontait au magazine Closer que ce dernier avait lancé un ultimatum à la jeune femme en lui demandant de choisir entre son enfant et sa carrière.
Sheryfa Luna a expliqué sur les ondes de la radio lyonnaise Hitsport qu’il l’aurait tenté de la faire avorter de son enfant à plus de six mois de grossesse, ce qui est formellement interdit en France car considéré comme un meurtre.
Elle a raconte : "Des personnes ont voulu m'emmener en Turquie pour m'enlever mon enfant quand j'étais enceinte, en menaçant d'arrêter ma carrière".
Elle explique clairement qu'elle parle de son ancien "manager que tout le monde aime et connaît" en désignant "des personnes".
"Il (Benjamin Chulvalij) a voulu me faire comprendre que mon enfant était nocif à ma carrière sauf qu'avoir un bébé, c'est la plus belle chose qui me soit arrivée. A partir du moment où ils ont senti que ça marchait, ma grossesse n'était plus un problème ."
Il y a quelques semaines, Venus racontait au magazine Closer que ce dernier avait lancé un ultimatum à la jeune femme en lui demandant de choisir entre son enfant et sa carrière.
Sheryfa Luna a expliqué sur les ondes de la radio lyonnaise Hitsport qu’il l’aurait tenté de la faire avorter de son enfant à plus de six mois de grossesse, ce qui est formellement interdit en France car considéré comme un meurtre.
Elle a raconte : "Des personnes ont voulu m'emmener en Turquie pour m'enlever mon enfant quand j'étais enceinte, en menaçant d'arrêter ma carrière".
Elle explique clairement qu'elle parle de son ancien "manager que tout le monde aime et connaît" en désignant "des personnes".
"Il (Benjamin Chulvalij) a voulu me faire comprendre que mon enfant était nocif à ma carrière sauf qu'avoir un bébé, c'est la plus belle chose qui me soit arrivée. A partir du moment où ils ont senti que ça marchait, ma grossesse n'était plus un problème ."
